RESTAURATION DES ANCIENS MAGASINS RATTI : NEXITY HÉRITAGE ACCÉLÈRE SON ACTIVITÉ DE RÉGÉNÉRATION URBAINE.
Les anciens magasins « Le RATTI », véritables joyaux d’architecture Art Déco en plein coeur de Cherbourg, s’apprêtent à connaître une nouvelle vie grâce à Nexity Héritage qui accélère ainsi son engagement de participer à la valorisation du bâti existant et à la régénération urbaine.
Un enjeu majeur pour la ville de Cherbourg
Situé en plein coeur de la ville de Cherbourg-en-Cotentin, l’immeuble Ratti, conçu en 1920 par l’architecte Levavasseur, est l’emblème historique de la ville et occupe une place centrale dans la vie et l’histoire des habitants.
Des logements pour habiter et redensifier le coeur de ville
Concrètement, ce projet de réhabilitation prévoit 55 logements du studio au T4, répartis entre le deuxième et le quatrième étage. Une initiative forte marque cette transformation : l’interdiction de la location en meublés touristiques. « L’objectif est clair : répondre aux besoins des habitants et offrir un cadre de vie durable », souligne Ralph Lejamtel, Adjoint au Maire chargé de l’urbanisme.
Une restauration respectueuse et innovante
Tout en préservant l’authenticité du lieu, des travaux ambitieux moderniseront le bâtiment. Les fenêtres seront remplacées par des modèles isolants et les ouvertures obstruées dans les années 1970 retrouveront leur éclat d’origine. « Ce projet illustre notre engagement envers une régénération urbaine respectueuse de l’histoire et tournée vers l’avenir », déclare Sharon Elbaz, Président de Nexity Héritage. Avec un début de commercialisation qui a débuté en juin dernier et un chantier prévu pour 2025, le RATTI renaîtra d’ici 2027. Une renaissance qui s’inscrit dans une vision plus large portée par la municipalité pour redynamiser Cherbourg. Une redynamisation possible grâce à la réduction d’impôt Denormandie éligible pour les investisseurs qui souhaitent participer à cette restauration.
« Le RATTI est un symbole de cette démarche, et nous sommes fiers d’accompagner Cherbourg dans cette transformation », conclut Sharon Elbaz.